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TGerson

Témoin numéro 1

Bien sûr que j´ai révélé la réalité du déroulement concernant l´arrestation musclée des officiers de police du 16.01.1998 dans notre appartement au cours de l´audience du 25.03.1999 devant le tribunal d´instance de Pirmasens.

Après ceci, le parquet de Zweibrücken avait porté plainte contre moi, pour motif : faux témoignage.

Alors mon avocat avait demandé auprès du tribunal la suspension de cette procédure jusqu´à la fin du procès de mon mari, d´où ce dernier a été déjà  condamné par le tribunal d´instance de Pirmasens.

Dieu merci que mon mari a été définitivement acquitté.

Comme prévu j´ai prié mon avocat de demander la réouverture de ma procédure et ce dernier me surprend en me faisant part que, le parquet voudrait avec mon consentement retirer sa plainte et que cette affaire soit classée.

Alors j´ai refusé cet arrangement douteux et je veux que justice soit faite, parce que je veux être aussi réhabilité.

Je suis sûr que je serai aussi acquitté tel que mon mari, Inschallah ; car c´est moi qui suis son témoin .

Je me demande toujours, pourquoi le tribunal de Pirmasens refuse de payer les frais que mon mari avait dépensé dans son procès définitivement terminé, alors que la Cour d´appel Palatinat de Zweibrücken confirme que ses dépenses soient remboursées par la caisse de justice d´état Palatinat.

Ce tribunal serait responsable de nouveau pour les frais de procédure de ladite affaire, si mon mari fait appel à un avocat.

A suivre……

On ne fuit jamais la justice

J´ai été témoin et je suis à présent accusée soit-disant d´avoir fait une fausse déclaration, d´où  je dois me comparaître le 03.12.2002 à  08 heures devant le tribunal de Pirmasens, dossier- Nr : 4017 JS 3501/99. 1 Ds  .

Je vérifie toutes les correspondances à la loupe, car il s´agit ici d´une procédure pénale.

Mon avocat Karst a reçu le 04.11.2002 une décision non datée du tribunal de Pirmasens qui m´est parvenue le 11.11.2002 .

Mon ancien avocat, Robert Münch est cité dans ladite décision comme mon défenseur, alors que j´ai renoncé à ce dernier environ deux ans de cela, et que mon actuel avocat avait informé ce tribunal pour ma défense.

A ce propos, j´ai adressé le 11.11.2002 une lettre au tribunal de Pirmasens en le confirmant ma renonce du défenseur Münch et de désigner l´avocat Karst comme mon avocat commis d´office.

J´ai rappelé aussi à ce tribunal, que je ne suis pas une criminelle,  parce que ce dernier avait mentionné dans sa décision non datée en m´accusant d´un crime, selon paragraphe § 140 alinéa 2 du code de la procédure pénale allemande (nomination d´un défenseur pour l´accusation d´un crime ).

J´espère que  la justice sera faite ici, car la vérité est l´honnêteté des hommes .

A suivre…… !

Leurs déclarations sont devenues le caméléon, car à chaque fois elles changent !

J´ai été condamnée le 03.12.2002 dans la procédure Nr. : 4017 JS 3501/99 devant le tribunal d´instance de Pirmasens comme suit 

1) L´accusée est coupable pour fausse déclaration non-assermentée
2) La condamnation est exceptée
3) L´accusée payera les frais de la procédure,
    ( prescriptions appliquées des paragraphes 153, 157 StPO )

Ceci est faux, parce que le juge Schiller du tribunal d´instance de Pirmasens m´avait mis sous-serment au cours de l´audition du 25.03.1999.

Mon avocat d´office, maître Karst a interrompu deux fois cette audition du 03.12.2002 et me disait, que le juge Dexheimer du tribunal d´instance de Pirmasens lui a demandé, qu´ il voudrait arrêter cette procédure, mais seulement avec mon approbation.

J´ai toujours refusé ceci, et je souhaite que ce tribunal rend un jugement concernant cette affaire.

Ensuite mon avocat Karst s´est fâché  et me disait que le juge Dexheimer me condamnera, si je n´accepte pas sa proposition, et ceci est le cas.

J´ai de nouveau confirmé ma première déclaration datée du 24.01.1998.

Mon mari était la seule personne qui a été mise sous-serment au cours de cette audition, les autres témoins : les officiers de police et les pompiers n´étaient pas du tout sous-serment.

Les déclarations de ces témoins : les officiers de police et les pompiers sont devenues le caméléon, parce qu´elles changent à chaque fois.

Il ne s´agit plus au cours de cette audition, que j´étais restée dans une pièce voisine quand les officiers de police frappaient mon mari dans notre chambre à coucher, comme ils l´avaient confirmé dans l´acte d´accusation du 09.08.1999.

Il s´agit à présent au cours de cette audition à travers le jugement promulgué rendu du 03.12.2002 que les témoins ont dit, que je suis sorti deux à trois reprises de  notre appartement et que je n´ai rien vu, quand les officiers de police frappaient mon mari dans notre chambre à coucher.

Laquelle de ces déclarations est la réalité ?

Au cours de l´audition du 25.03.1999, Nr. : 4017 JS 1142/98, dans laquelle mon mari était accusé pour résistance contre les officiers de police et autre, le juge Schiller du tribunal d´instance de Pirmasens avait prononcé que je mentais et que j´étais pas présente dans notre appartement, plutôt que j´étais dans une autre pièce , quand les officiers de police étaient avec mon mari dans notre chambre à coucher.

Les officiers de police et les pompiers n´ont pas dit la vérité et ce jugement a été basé sur les fausses déclarations de ces témoins.

Tout d´abord j´ai fait le recours le 03.12.2002 contre le jugement du 03.12.2002 et le 08.01.2003 j´ai aussi demandé le tribunal de grande instance de Zweibrücken d´ordonner absolument une autre audition devant ledit tribunal concernant ce jugement qui est important pour moi, pour que tous ces témoins soient de nouveau entendus.

Par conséquent j´ai aussi prié ce tribunal de m´accorder une audition légale selon l´article 103  alinéa 1 de la loi fondamentale allemande, parce que l´on peut mentir seulement sur une personne morte, mais cela est impossible sur un vivant ; car je vis encore et je n´accepterai jamais ce pure mensonge peser sur moi, même si je suis une africaine, qui n´a pas un permis de séjour valable.

Comme peut-on croire à ces témoins, lorsqu´ils changent toujours leurs déclarations ; car dans cette vie, un homme doit maintenir sa parole.

A suivre…….. !