J´ai été condamnée le 03.12.2002 dans la procédure Nr. : 4017 JS 3501/99 devant le tribunal d´instance de Pirmasens comme suit
1) L´accusée est coupable pour fausse déclaration non-assermentée
2) La condamnation est exceptée
3) L´accusée payera les frais de la procédure,
( prescriptions appliquées des paragraphes 153, 157 StPO )
Ceci est faux, parce que le juge Schiller du tribunal d´instance de Pirmasens m´avait mis sous-serment au cours de l´audition du 25.03.1999.
Mon avocat d´office, maître Karst a interrompu deux fois cette audition du
03.12.2002 et me disait, que le juge Dexheimer du tribunal d´instance de Pirmasens lui a demandé, qu´ il voudrait arrêter cette procédure, mais seulement avec mon approbation.
J´ai toujours refusé ceci, et je souhaite que ce
tribunal rend un jugement concernant cette affaire.
Ensuite mon avocat Karst s´est fâché et me disait que le juge Dexheimer me condamnera, si je n´accepte pas sa proposition, et ceci est le cas.
J´ai de nouveau confirmé ma première déclaration datée du 24.01.1998.
Mon mari était la seule personne qui a été mise sous-serment au cours de cette audition, les autres témoins : les officiers de police et les
pompiers n´étaient pas du tout sous-serment.
Les déclarations de ces témoins : les officiers de police et les pompiers sont devenues le caméléon, parce qu´elles changent à chaque fois.
Il ne
s´agit plus au cours de cette audition, que j´étais restée dans une pièce voisine quand les officiers de police frappaient mon mari dans notre chambre à coucher, comme ils l´avaient confirmé dans l´acte d´accusation du 09.08.1999.
Il s´agit à présent au cours de cette audition à travers le jugement promulgué rendu du 03.12.2002 que les témoins ont dit, que je suis sorti deux à trois reprises de notre appartement et que je n´ai rien vu, quand les
officiers de police frappaient mon mari dans notre chambre à coucher.
Laquelle de ces déclarations est la réalité ?
Au cours de l´audition du 25.03.1999, Nr. : 4017 JS 1142/98, dans laquelle mon mari était
accusé pour résistance contre les officiers de police et autre, le juge Schiller du tribunal d´instance de Pirmasens avait prononcé que je mentais et que j´étais pas présente dans notre appartement, plutôt que j´étais dans une
autre pièce , quand les officiers de police étaient avec mon mari dans notre chambre à coucher.
Les officiers de police et les pompiers n´ont pas dit la vérité et ce jugement a été basé sur les fausses déclarations
de ces témoins.
Tout d´abord j´ai fait le recours le 03.12.2002 contre le jugement du 03.12.2002 et le 08.01.2003 j´ai aussi demandé le tribunal de grande instance de Zweibrücken d´ordonner absolument une autre audition
devant ledit tribunal concernant ce jugement qui est important pour moi, pour que tous ces témoins soient de nouveau entendus.
Par conséquent j´ai aussi prié ce tribunal de m´accorder une audition légale selon l´article
103 alinéa 1 de la loi fondamentale allemande, parce que l´on peut mentir seulement sur une personne morte, mais cela est impossible sur un vivant ; car je vis encore et je n´accepterai jamais ce pure mensonge peser sur
moi, même si je suis une africaine, qui n´a pas un permis de séjour valable.
Comme peut-on croire à ces témoins, lorsqu´ils changent toujours leurs déclarations ; car dans cette vie, un homme doit maintenir sa parole.
A suivre…….. !