En effet, Gerson est mon petit fils légitime, parce que j´avais contracté un mariage coutumier avec sa grand-mére Edith Kokoè Ajavon légalement en 1908 à
Anécho au Togo, dont mon premier fils Johann junior était né en 1910.J´ai aussi raconté à certains collègues du travail mon mariage célébré en afrique avec ma chère bien aimée Edith concernant notre vie conjugale;
pour que ceci se transmet en tant que preuve; car il n´existait aucun état civil allemand ou togolais.
Je ne pouvais pas déclarer mon premier mariage célebré en afrique en Allemagne, en raison que, je devrais
absolument présenter le certificat de divorce, avant que je puisse me marier pour la seconde fois; alors qu´il me serait impossible d´obtenir ce fammeux divorce; car les anciennes lois racistes allemandesétaient la base
de la loi de mon silence.
Bien sûr j´ai été marié pour la seconde fois avec une femme allemande en Allemegne, dont nous avions eu ensemble trois enfants.
Mes enfants savaient aussi, qu´ils ont un grand-frère, qui
s´appelllait Johann Liebl et qui habitait à Lomé,c´est pourquoi mon fils Fritz junior avait décidé en décembre 1973, de rendre visite à ce dernier et malheureusement cette rencontre n´était plus possible, parce que ce
dernier était déjà mort allongé sur son lit.
Je n´ai jamais pensé à cela, que mon héritage causerait aujourd´hui la discorde entre mes deux familles, si non j´allais chercher une solution et la trouver, alors que mon
petit fils voudrait seulement avoir une bonne relation avec eux.
Gerson, je te souhaite beaucoup de courage et je suis de tout coeur et en âme avec toi.
