J´étais une togolaise, la première femme légitime Edith Kokoè Liebl, née Ajavon, qui avait aimée docteur fritz Liebl, avec qui nous avions ensemble fondé une famille. Johann était notre enfant, le
fruit de notre alliance devant dieu, et était mon seul souvenir resté dans ce mariage. nous avions souvent correspondu, quand mon mari était rentré en Allemagne; car son petit bien aimé lui manquait beaucoup, et je
savais pas la raison de coupure de notre contact; peut être Fritz le savait déjà, parce que son retour n´était pas un voyage d´adieu pour moi. Je savais pas du tout, de même que mes ancêtres, qu´une loi raciste
qui était cachée derrière tous ces évenements et qui nous avait été jamais prononcée et qui aurait un désavantage sur la légitimation de mon fils, alors que les allemands étaient les bienvenues chaque temps chez nous.
Gerson, nous les ancêtres du Togo te soutiennent et nnous restons toujours en contact par PS. 23 Message des ancêtres |